Depuis longtemps JEAN-visageais de commettre
un petit texte humoristique,
quitte à tomber dans le JEAN-notisme.
Au fil des jours, JEAN-magasinais toutes sortes
de mots, JEAN-rêvais,
JEAN-parlais autour de moi, je me suis dit,
il faut que je l'écrive avant JEAN-vier.
JEAN-gage donc le processus, un stylo dans
une main, un casse croûte au JEAN-bon
dans l'autre. Le propos n'est pas facile,
JEAN- bave un maximum, JEAN-vie ceux
qui ont de l'inspiration à revendre, ceux qui
savent faire dans le JEAN-re rêverie, ce sont
là de forts grands JEAN-tilhomes.
Manquant d'idées, JEAN-ferme ma pauvre
carcasse dans mon bureau, JEAN-file une bouteille
de JEAN-tianne pour me donner du courage,
mais cela me fait belle JEAN-be.
En ressortant de chez moi, je tombe nez à nez
avec un JEAN-til JEAN-darme qui malgré mon
état d'ébriété évident me fait simplement
remarquer avec JEAN-tillesse que JEAN-combre
le trottoir, j'eus affaire là, à un vrai JEAN-tleman.
JEAN-jambe donc la caisse de JEAN-bonneau
posée au sol devant moi, voyant bien que
JEAN-barasse mon entourage,
JEAN-fourche mon vélo et file à la campagne
me dégriser l'esprit à toute vitesse,
quitte à faire rougir les JEAN-tes des roues
de mon engin.
Soyez indulgents avec ce petit délire,
il est futile, JEAN- suis conscient.
Merci à vous qui avez persisté
pour le lire jusqu'à la fin.
Le Roi des Jeanfoutres !