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J'AI COMME UN...DOUTE !
21/02/2010 06:54
A la manière de Raymond Devos ( Toutes proportions humblement gardées car le pastiche ne remplace pas le talent ! ) .
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Hier soir, en rentrant de mon concours de boules,plus tôt que d'habitude...J'étais en colère ! ...doublement ! d'une part j'avais perdu mais en prime mon meilleur copain était assis sur mon canapé avec ma femme,dans la pénombre,j'ai bien vu qu'il avait mis mes pantoufles.....Du coup, j'ai eu un doute ! En plus,quand j'ai expliqué que j'avais perdu parce que je n'avais pas eu de chance,ils m'ont regardé avec un sourire narquois et il a ajouté : " Normalement ,la chance sourit aux cocus ! " J'ai eu des doutes ... Puis, on s'est rassis ,eux sur le canapé ,moi sur le fauteuil du chien mais pour m'être agréable,il m'a offert un cigare- la même boite que celle que je ne retrouve plus- ( c'est nouveau ,il fume maintenant et les mêmes cigares que les miens ) . J'ai encore des doutes ! Mon pyjama c'est pareil ! depuis qu'il a acheté le même que le mien,je ne retrouve plus mon pyjama préféré ! Il s'en sert quoi , y a pas de doutes à avoir ! Ma femme ne voulait pas me croire,je lui ai dis : " tu verras ,un jour il se servira aussi de tes affaires ! " ça n'a pas raté ! en sortant le briquet de sa poche ,le soutien-gorge de ma femme est...apparu ! Va comprendre ! j'ai comme un doute ! .....Bien entendu ,ce n'est pas une histoire qui sent le vécu ,du moins pour moi ,car je n'ai pas de pantoufles,je dors sans pyjama ,je ne fume pas, je n'ai........et surtout je ne perds pas ( je gagne à ....être connu ! )
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RESTONS NOUS-MÊME
21/02/2010 03:09
A la télé ,dans la presse ,sur les forums.....il y en a que
pour la Bande, l'entre-soi, la sociabilité par la même
pensée, affinités électives et exclusives-Elle est une
tentation de l'époque-Elle s'englue dans le pathos de
" la Bande de potes ",cette " camaraderie " éphémère
fait les yeux doux au naturel inquiet de chacun , à la
peur de la solitude, à la hantise de la pensée différente
ou à son absence !-Elle agit comme un opiacé, un
désinhibiteur....car il y a une douceur rassurante à
marcher en groupes , à se convaincre de partager les
mêmes idées, à abdiquer sa responsabilité individuelle
....Bande ! sous chacune de ces solidarités , il y a soumission
à un ordre devant lequel se suspend la notion de pensée
individuelle: le groupe pense, on suit , nul n'est vraiment
responsable- C'est bête et banal .
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BABYBELL .
18/02/2010 03:32
Connaissez-vous Babybell ? non ? vous avez tord ! cette jeune personne écrit bien et en plus
elle a de l'humour......deux denrées rares ! voici son poème :
"J'me suis fait tirer
j'ai pas perdu mon temps
j'me suis pas ennuyer
même si j'en ai eu pour mon argent.
J'me suis fait tirer
dans toutes les positions
de la dame au cavalier
toutes sans exceptions.
J'me suis fait tirer
pendant au moins deux heures
mon dieu c'que j'ai aimé
j'ai pas vu tourner l'heure.
J'me suis fait tirer
ce type a vraiment un don
je n'ai rien regrettée
je r'viendrai plus souvent.
J'me suis fait tirer
le prix n'était pas à débattre
j'avoue q'je reviendrais
me faire tirer les cartes."
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CONFESSIONS........!
15/02/2010 05:27
La nuit était noire, la lune était blanche.
Nous étions seuls, elle et moi.
Sa peau si douce, ses yeux si bleus.
Je savais ce qu'elle ... attendait de moi.
Je lui dis de se calmer, de ne pas se rebeller.
Je fis courir ma main, doucement sur ses reins.
Je n'y connaissais rien, mais je fis de mon mieux.
Pour placer mes doigts, délicatement entre ses seins.
Je me souviens de ma peur, de l'excitation de mon coeur.
Jusqu'à ce moment béni, où ma honte s'enfuit.
Après quelques Hisse et Han ! il ne fallut pas longtemps.
Pour qu'en un jet puissant, jaillisse le liquide blanc !
Enfin j'avais réussi, j'étais un homme à présent.
C'était la toute première fois cet automne...
Que je trayais ....une vache bretonne ! ! !
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C'EST VRAIMENT LE COMBLE DE.....!
14/02/2010 14:37
IL pose délicatement son stylo doré sur le bureau et reste contemplatif
devant les quelques feuilles éparpillées devant lui. Il est perplexe au plus
haut point. C'est tout simplement incroyable. L'article aligné sous ses
yeux ébahis semble sortir d'un autre cerveau que le sien.
Et pourtant, Dieu sait s'il est l'un des plus brillants de son époque.
Tout le monde le sait, même lui... Mais des articles pareils...
franchement, ça ne peut pas sortir d'un cerveau de Terriens, en tout cas
pas au stade actuel de l'Evolution. En vérité, ces quelques lignes dépassent
de très loin tout entendement humain.
Mais, alors, comment se fait-il qu'il puisse les comprendre, lui ?
Et même que c'est lui qui les a écrits ? Faut-il conclure qu'il n'est
pas humain ? Qu'il est un extraterrestre ? Il se regarde, se tâte, se pince...
100% homo sapiens sapiens, à ce qu'il puisse le constater.
Alors, il ne reste plus qu'une seule solution : il est en train de rêver...
Une autre claque sur le front.
Aïe !
Non, il ne rêve pas. Et ses yeux restent longuement rivés sur le bureau,
comme s'ils étaient incapables de se détacher de ces feuilles noircies
par une démonstration fantastique de la mécanique quantique, tout
fraîchement griffonnée avec toute la fureur que seul un incroyable accès
de génie peut provoquer. Des instants pareils, il n'en vivra sûrement pas
d'autres. Même avec sept vies de plus. Il le sait et a largement de quoi être
satisfait de lui-même. A un tel point qu'il s'accorde une grande récompense :
poser ses deux mains sur le ventre, se laisser basculer légèrement dans
son vieux fauteuil et croiser ses jambes sur le bureau. Le visage illuminé,
les yeux mi-clos et la bouche esquissant un rictus absolument désopilant.
Le même rictus que celui d'un nourrisson expulsant cette matière jaunâtre
issue d'une bataille furieuse entre sa faune intestinale et les protéines lactaires
de sa mère, à moins que cela ne soit ceux d'une vulgaire vache paissant dans
un champ de pavot. Bref, Bouddha lui-même n'aurait pas atteint une telle béatitude.
Encore moins dans une telle posture. C'est le plus grand moment de sa vie.
Mais non, que dis-je ! Lui, ce n'est rien. Un conglomérat éphémère de
poussières d'étoile, animé par une énergie admirable, certes, mais
essentiellement rempli de vide. Non, ce n'est pas le plus grand moment
de sa vie, mais celui de toute l'histoire du NET !
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